Elsässischer Autonomismus lebt!

Die Gemeinden des 5. Wahlkreises des Departements Bas-Rhin.

 

Geografische Analyse der Ergebnisse der Kammerwahlen 2017 im Wahlkreis Schlettstadt-Erstein.

Wer hätte noch vor kurzem geglaubt, dass ein autonomistischer Kandidat zur Nationalversammlung in einem elsässischen Kreis die zweite Runde der Wahlen erreichen konnte? Continuer la lecture de Elsässischer Autonomismus lebt!

Schlettstadter Kàmmerwahla 2017

Elsasser! Mìr sìn wìder dò!
Mìt sechsaviarzig Prozant
Kenna mìr jetz nìt keja lò !
Denn fer d’Heimet ìsch’s gàr ke And,
Ìm Gegateil: A Crescendo!
 
D’r Simler het sò güet g’schàfft:
Ar het sò viel Lit beriahrt.
Mìt Energie un Kàm’ràdschàft
Het ar uns ìm Wàhlkàmpf gstiart.
Also merci vu dr Mànnschàft !
 
Dìs kurz Scheitra màcht ‘s Schìcksàl hert,
Doch mìr spiira, àss ebbs lòs ìsch,
Un àss a Kràft  jetz vergressert.
Mìr bliewa noch optimistisch

Un hoffa ìn dam Jòhrhundert!

Eric

Lettre ouverte aux agriculteurs de la 5ème circonscription

Chers amis agriculteurs,

Durant cette campagne des législatives dans la 5ème circonscription du Bas-Rhin, un petit nombre d’entre vous se sont exprimés publiquement pour soutenir le candidat LR.

Je comprends que l’on puisse instinctivement supporter un collègue. En effet, loin de moi l’idée de remettre en doute ses compétences professionnelles. Mais j’aimerais pousser un peu la réflexion avec vous. Continuer la lecture de Lettre ouverte aux agriculteurs de la 5ème circonscription

FN : le parti qui sonne creux (S’klingt hole)

Et rien sur l’Alsace?

 

Le FN est-il véritablement un parti politique, c’est-à-dire une organisation dotée d’un programme qui cherche à accéder à différents niveaux de responsabilité politique pour appliquer ce programme ? Continuer la lecture de FN : le parti qui sonne creux (S’klingt hole)

Eliane KLEIN (FN) et Antoine HERTH (Parti Caméléon) ne signent pas pour le retour à l’Alsace

Extrait DNA du 6 Juin 2017

Commentaire:

Électeurs de la 5e circonscription du Bas-Rhin,
Vous avez de la chance ! Pour vous, les choses sont claires : sur les trois candidats principaux, un seul a exprimé sa volonté « que l’Alsace retrouve une institution politique propre » en répondant au questionnaire de l’Initiative Citoyenne Alsace, et ce candidat, naturellement, c’est Gérard Simler.

7 députés sortants LR-UDI ont également répondu « oui » au retour d’une institution alsacienne : Antoine Herth ne l’a pas fait. On a cherché son nom parmi les 2 macronistes (LREM) qui souhaitent également une institution politique pour l’Alsace, sait-on jamais… mais, là non plus, pas de trace du député sortant. Antoine Herth se démarque donc, même parmi ses collègues de la droite alsacienne, par son renoncement à défendre l’Alsace.

Du côté du FN, seuls 3 candidats semblent approuver le retour à une Région Alsace : Éliane Klein n’en fait pas partie. La candidate FN a bien appris la ligne officielle de sa formation politique, hostile à toute représentation régionale.

La conclusion coule de source pour tous les électeurs qui aiment l’Alsace dans la 5e circonscription du Bas-Rhin : Il n’y aura qu’un seul bulletin de vote alsacien les 11 et 18 juin, c’est le bulletin de vote Gérard Simler, sous les couleurs d’Unser Land !

Wähla mìt! Wähla d’r Simler!

« L’âme de l’Alsace » – Extrait DNA édition Sélestat du 12 mai 2017

Gérard Simler (65 ans) se revendique d’une Alsace rurale, avec des valeurs qu’il place au centre. Médecin généraliste, à mi temps désormais, il est élu depuis 2001.

Son enfance, Gérard Simler l’a passée à Schwobsheim, « un petit village du Ried un peu hors du monde », au sein d’une famille d’agriculteurs. Né dans les années 1950, il a l’alsacien pour langue première, avant de se mettre au français, vers six ans, une fois à l’école. Continuer la lecture de « L’âme de l’Alsace » – Extrait DNA édition Sélestat du 12 mai 2017

Chez les Richert on ne mord pas la main qui vous nourrit

(DNA 13/04/2017 en page politique) Philippe Richert, président de la région Grand Est, a fait connaître ce matin dans un communiqué son soutien au recours du maire de Fessenheim Claude Brender contre le décret de fermeture de la centrale nucléaire. « Le dépôt de ce décret est une aberration que je ne peux que contester », s’insurge M. Richert, selon qui « depuis 2012, François Hollande cherche à faire de la fermeture de Fessenheim LA promesse qu’il aura tenue bien avant que des études sur la viabilité et le niveau de sécurité de la Centrale soient encore lancées ». Aux yeux du président du Grand Est, « imposer la fermeture est une décision de pur affichage et en contradiction avec les décisions aussi bien de l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire) que du Conseil d’administration, qui sont les acteurs légitimes pour acter la fermeture. L’Etat ne dispose d’aucun fondement objectif pour cette parution et impose, une fois de plus, une de ses décisions sans concertation aucune ! » M. Richert, tout en jugeant « inéluctable que des fermetures de centrales nucléaires doivent intervenir à terme », estime que « l’usine de Fessenheim mérite mieux que d’être un sacrifice sur l’autel médiatique et politique, avec des conditions de fermeture inimaginables en termes de dynamique territoriale, de la ville de Fessenheim à l’échelle de la région Grand Est ». « Je ne peux, ajoute til, me résoudre à accepter ce gâchis industriel et économique qui scandalise à la fois tout le personnel de l’électricien français que l’ensemble des élus locaux. C’est pourquoi je soutiens le recours en justice du maire de Fessenheim, Claude Brender, qui subit comme nous cette décision nationale ». Dès dimanche, le conseil départemental du Haut Rhin, par la voix de son président Eric Straumann, avait annoncé qu’il « se joindra aux côtés de la commune de Fessenheim pour engager tous les recours possibles et faire que le devenir de Fessenheim s’inscrive dans une démarche concertée et respectueuse de la loi »

Commentaire:

Mr Richert ne perd pas une occasion de s’engager contre l’état dans le dossier de la fermeture de Fessenheim. On assiste à une confrontation entre l’état qui a conditionné la fermeture du site de Fessenheim à la mise en service de l’EPR de Flamanville et EDF. On peut aisément comprendre qu’il prenne la défense de l’emploi même si, dans cette affaire, on pourrait épiloguer longuement sur le retard pris dans les énergies renouvelables par la France à cause d’une politique énergétique dite du ‘tout nucléaire’ beaucoup plus gourmande en fonds publiques que communément admis.
De plus, la question du démantèlement n’est ni techniquement claire, ni même maîtrisée, et le budget alloué à l’opération est probablement largement sous-évalué.
Le contexte économique est donc très difficile pour notre électricien et les prises de positions de Richert, même dénuées de vision d’avenir, peuvent paraître légitimes.
Mais, on peut néanmoins mettre en doute sa neutralité dans cette affaire car des personnes proches sont employées directement par l’électricien. Il est légitime d’avoir des atomes crochus pour les siens, mais il gagnerait à être un peu plus discret dans le dossier.
Si seulement il avait mis en son temps autant d’énergie à défendre les Alsaciens…