Geografische Analyse der Ergebnisse der Kammerwahlen 2017 im Wahlkreis Schlettstadt-Erstein.
Wer hätte noch vor kurzem geglaubt, dass ein autonomistischer Kandidat zur Nationalversammlung in einem elsässischen Kreis die zweite Runde der Wahlen erreichen konnte?Continuer la lecture de Elsässischer Autonomismus lebt!
Durant cette campagne des législatives dans la 5ème circonscription du Bas-Rhin, un petit nombre d’entre vous se sont exprimés publiquement pour soutenir le candidat LR.
Électeurs de la 5e circonscription du Bas-Rhin,
Vous avez de la chance ! Pour vous, les choses sont claires : sur les trois candidats principaux, un seul a exprimé sa volonté « que l’Alsace retrouve une institution politique propre » en répondant au questionnaire de l’Initiative Citoyenne Alsace, et ce candidat, naturellement, c’est Gérard Simler.
7 députés sortants LR-UDI ont également répondu « oui » au retour d’une institution alsacienne : Antoine Herth ne l’a pas fait. On a cherché son nom parmi les 2 macronistes (LREM) qui souhaitent également une institution politique pour l’Alsace, sait-on jamais… mais, là non plus, pas de trace du député sortant. Antoine Herth se démarque donc, même parmi ses collègues de la droite alsacienne, par son renoncement à défendre l’Alsace.
Du côté du FN, seuls 3 candidats semblent approuver le retour à une Région Alsace : Éliane Klein n’en fait pas partie. La candidate FN a bien appris la ligne officielle de sa formation politique, hostile à toute représentation régionale.
La conclusion coule de source pour tous les électeurs qui aiment l’Alsace dans la 5e circonscription du Bas-Rhin : Il n’y aura qu’unseul bulletin de vote alsacien les 11 et 18 juin, c’est le bulletin de vote Gérard Simler, sous les couleurs d’Unser Land !
Mr Richert ne perd pas une occasion de s’engager contre l’état dans le dossier de la fermeture de Fessenheim. On assiste à une confrontation entre l’état qui a conditionné la fermeture du site de Fessenheim à la mise en service de l’EPR de Flamanville et EDF. On peut aisément comprendre qu’il prenne la défense de l’emploi même si, dans cette affaire, on pourrait épiloguer longuement sur le retard pris dans les énergies renouvelables par la France à cause d’une politique énergétique dite du ‘tout nucléaire’ beaucoup plus gourmande en fonds publiques que communément admis.
De plus, la question du démantèlement n’est ni techniquement claire, ni même maîtrisée, et le budget alloué à l’opération est probablement largement sous-évalué.
Le contexte économique est donc très difficile pour notre électricien et les prises de positions de Richert, même dénuées de vision d’avenir, peuvent paraître légitimes.
Mais, on peut néanmoins mettre en doute sa neutralité dans cette affaire car des personnes proches sont employées directement par l’électricien. Il est légitime d’avoir des atomes crochus pour les siens, mais il gagnerait à être un peu plus discret dans le dossier.
Si seulement il avait mis en son temps autant d’énergie à défendre les Alsaciens…